L’adjectif gangréné est malheureusement celui qui convient le mieux à la situation.
Petit rappel selon le Larousse : « Mal insidieux qui menace d’envahir la société, un organisme, une institution, etc. : Administration atteinte par la gangrène de la corruption ».
Au stade de gangrène que vous allez découvrir, vous ne pourrez que conclure : « çà suffit maintenant, il est grand temps de changer tout çà ».
Vous en doutez ? Attendez, vous allez bientôt le vérifier.
Cela étant, nous prenons la liberté de vous préciser que la plus grande erreur serait, à la lecture des premiers éléments qui vont vous être détaillés, de ne rien en croire et de rester sur les principes qui vous ont été inculqués [1] depuis votre plus jeune enfance.
Vous devez savoir que les gens d’Actes-Vrais qui portent ici à votre connaissance tout ce qui va suivre, ont été et sont encore confrontés dans le cadre de leurs activités associatives, aux soucis et à la misère de trop de nos concitoyens pour s’autoriser à être laxistes [2].
Motivés dans leur souci d’intervenir au soutien des intérêts des Français, ils ont cherché à poser un diagnostic pour lequel pas moins de cinq années de recherches, d’analyses, de synthèses, de combats devant les tribunaux ont été nécessaires.
Avec toute la rectitude [3] qui caractérise Actes-Vrais, l’entièreté des informations qui vont vous être dévoilées fera l’objet de justifications par des « documents authentiques » [4] et par conséquent indiscutables ; en l’occurrence il s’agit d’arrêtés préfectoraux, d’arrêtés ministériels, de décrets, d’ordonnances, de lois, de traités, sans oublier d’extraits du Journal officiel et d’extraits des Archives nationales.
Veuillez noter que les articles qui vont délivrer toutes ces informations comporteront une première partie en lettres grasses, première partie destinée aux personnes qui ne disposent guère de temps et qui ne sont pas forcément férues [5] de documents juridiques, fussent-ils présentés à titre justificatif.
La seconde partie, plus détaillée juridiquement parlant, comportera à titre de justificatifs, les documents authentiques évoqués supra [6].
Une dernière remarque avant de rentrer dans le vif du sujet, ces personnes qui ont réalisé ce travail sont des citoyens français, sans distinction aucune, de simples assurés sociaux.
En tout état de cause, ils sont la personnification de ce que le fait d’appartenir à « la France d’en bas » ne saurait être, en aucun cas, une source d’infériorité par rapport aux élites auto-proclamées.