Alors…
Qu’est-ce qu’ACTES-VRAIS ?
ACTES-VRAIS est un nouveau concept démocratique dont l’objectif est de réaliser l’ÉMANCIPATION DES CITOYENS au regard notamment de la classe politique et ainsi leur restituer une liberté perdue depuis des siècles.
C’est dans ce but qu’ACTES-VRAIS met à la disposition de tous, le PREMIER OUTIL FÉDÉRATEUR basé sur une plateforme informatique interactive que nous nommerons par commodité « site participatif ».
Le Citoyen responsable et décideur qui lit ces lignes aura vite fait de comprendre que le site d’ACTES-VRAIS est d’ores et déjà le bien de tous, la maison commune en quelque sorte.
ACTES-VRAIS s’appuie sur une gestion humaine et non algorithmique. [1]
ACTES-VRAIS offre la possibilité à chacun de s’exprimer individuellement et équitablement en termes de doléances, de propositions et d’informations, avec la garantie d’une totale transparence et d’une totale confidentialité, si toutefois celle-ci est demandée.
ACTES-VRAIS c’est la possibilité donnée, à chacun de ses Adhérents, d’instaurer [2] des référendums, de les instruire et de les amener jusqu’à la votation, avec la garantie de résultats complets et immédiats.
ACTES-VRAIS permet la prise en compte de toute doléance, proposition, information et vote, émis par chacun, et le suivi de cette prise en compte.
En d’autres termes, ACTES-VRAIS assure la traçabilité des interventions de chacun et des conséquences de celles-ci.
ACTES-VRAIS offre la possibilité pour chacun de participer individuellement et équitablement à la prise de toute décision et ce, quels que soient les sujets.
ACTES-VRAIS c’est l’accès individuel et équitable à l’ensemble des décisions prises collégialement au travers de résultats comptabilisés et d’un florilège de statistiques.
ACTES-VRAIS c’est la possibilité donnée à qui le souhaite, de participer à l’élaboration d’un projet sociétal national entièrement citoyen.
Si ACTES-VRAIS répond aux attentes des Citoyens à l’échelle nationale, il y répond aussi à l’échelle municipale.
ACTES-VRAIS est d’ores et déjà en capacité de répondre aux attentes des Citoyens à l’échelle internationale, pour peu qu’il en soit fait la demande.
Pourquoi ACTES-VRAIS ?
« Il n’y a pas d’émancipation [3] possible sans la prise de conscience explicite de ce par quoi on est asservi [4] et plus fondamentalement sans la conscience même de l’asservissement, jusque-là étouffée, anesthésiée par les habitudes et le poids des conformismes [5]. » (Alain Accardo)
ACTES-VRAIS fait sienne cette citation d’Alain Accardo et s’en explique.
Un peu de rétrospection…
Qui n’a jamais entendu dire, tant par la classe médiatique que par la classe politique : « nous sommes en démocratie » ou « la France est un pays démocratique » ; ces derniers temps, cela en devient presque lancinant.
Au moins la démocratie est-elle visible, au plus ils nous la rappellent ; un peu comme la confiture, « au moins on en a, au plus on l’étale ».
Cela porte différents noms : « bourrage de crânes » – « enfumage » – « désinformation » – « propagande » et autre « formatage » ce que de plus en plus de personnes comprennent enfin.
Nous ne vivons pas dans une démocratie au demeurant représentative. Il ne s’agit pas même d’un ersatz [6] de démocratie représentative. Dans les faits, nous vivons sous le joug [7] d’un régime oligarchique [8] lequel depuis ces dernières années, vire non pas à l’autoritarisme mais à la dictature compte tenu de ce qu’aujourd’hui, ils n’hésitent pas à s’en prendre à l’intime de l’individu.
Mais de cela, la majorité des Français en a enfin conscience.
Les Anciens étaient bien plus sages.
Sans avoir la prétention de dispenser ici un cours d’histoire, rappelons qu’il y a 25 siècles déjà, (que le temps passe vite) le régime politique athénien était une démocratie directe, laquelle, à l’époque, présentait un inconvénient majeur à savoir la difficulté qu’avaient les Citoyens à se déplacer pour pouvoir participer à la prise des décisions politiques.
En effet, le moyen de déplacement le plus rapide en ces temps ancestraux, était le char « mode Ben- Hur » : rien à voir donc avec l’avion, le TGV et même la voiture.
C’est ainsi qu’en 322 avant J-C, dès la mort d’Alexandre le Grand, le pouvoir macédonien a pu imposer à Athènes un régime politique oligarchique.
Depuis, les Citoyens à Athènes mais aussi partout ailleurs, ont perdu tout pouvoir, excepté celui de nommer des représentants qui ne se comportent pas comme tels.
Le pouvoir est aux mains de castes [9] qui s’autorisent à rabâcher avec beaucoup d’intérêt bien sûr que le peuple n’est pas capable !
Parmi les innombrables ardents défenseurs de la représentativité, Montesquieu par exemple, mais aussi l’abbé Emmanuel-Joseph Sieyès, lequel dans son discours du 7 septembre 1789 déclarait :
« Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique ».
« Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants ».
Alors qu’il s’est toujours opposé à la démocratie directe, en étant le contradicteur principal de Jean-Jacques Rousseau, visiblement Sieyès n’hésitait pas à opposer l’État représentatif à l’État démocratique, détruisant ainsi toute notion de démocratie représentative qui ne peut être qu’un leurre [10] au regard des spécificités de l’espèce humaine.
Cela étant, s’agissant de la prétendue incapacité qu’aurait le peuple à détenir le pouvoir, il convient de rappeler qu’elle réside dans l’impossibilité qui perdure depuis des siècles, à se fédérer en d’autres termes à se déplacer pour se rassembler, échanger et décider collégialement.
Or, si cette impossibilité à se fédérer s’est imposée de nombreux siècles durant, force est d’admettre qu’elle a disparu en même temps que le XXe siècle.
En effet, avec l’avènement de l’informatique « domestique », de l’informatique pour tous, qui peut nier que des millions d’individus peuvent échanger en temps réel, en « just in time ».
Qui peut encore soutenir que les peuples sont incapables ?
Les peuples ne seraient pas capables de juger des meilleures décisions à prendre mais ils sauraient juger, dans le cadre d’élections, de qui et de quel parti émanent les meilleures décisions politiques à prendre et donc à appliquer. Cela n’a aucun sens.
Cela a d’autant moins de sens que, dans les faits, aucun individu, aucune caste n’a la capacité de détenir le « fauteuil d’expert » et ce, qui plus est, dans tous les domaines de la vie.
La gestion de la COVID19 n’a-t-elle pas fait la démonstration de l’incapacité du pouvoir à gérer les problèmes ayant trait à la santé ; et comme chacun le sait, ce n’est qu’un triste exemple.
En réalité, il n’y a pas à s’en étonner.
Depuis de très nombreuses générations, les Citoyens sont tellement formatés qu’ils considèrent, à tort, que les représentants qu’ils ont élus détiennent le pouvoir parce que le savoir aussi.
En vérité, il n’en est rien. Originellement, de tels représentants sont élus pour représenter le peuple et donc pour jouer la musique que le peuple a composée.
C’est aussi pour cette raison que, contrairement aux idées reçues, les représentants ne peuvent être capables et ne peuvent détenir les « fauteuils d’experts » à fortiori dans tous les domaines.
La vérité ne peut être que là où elle se trouve, c’est-à-dire chez l’ensemble des Citoyens, lesquels séparément ont tous leur propre compétence et donc importance.
Encore une fois, la crise sanitaire que nous venons de subir en est le parfait exemple.
Et ce n’est pas la crise économique naissante qui va redorer le blason de l’exécutif. Rendez-vous à l’automne.
Une autre actualité confirme à quel point les Citoyens sont aujourd’hui plus capables, bien plus capables que leurs représentants ; il s’agit de la « Convention citoyenne sur le climat » voulue par Emmanuel Macron.
Cette convention dénommée en réalité "Convention citoyenne pour la transition écologique" a été constituée en octobre 2019. Elle regroupe 150 Citoyens tirés au sort, nous dit-on.
Et de constater qu’il aura fallu pas moins de huit mois pour prendre des décisions, uniquement dans le domaine de l’écologie, lesquelles, sauf le respect des 150 participants, quoiqu’en disent déjà les médias, transpirent le formatage imposé tous les jours aux citoyens par précisément lesdits médias.
ACTES-VRAIS traitera avec vous, donc potentiellement parlant avec 50 millions de Français, du domaine de l’écologie et donc du climat, mais aussi d’autres domaines tout aussi importants à vos yeux, dès ce mois de juillet. Il appartiendra à tous de comparer, en toute objectivité.
Et de constater.
Il est grand temps que les peuples sortent de leur torpeur, [11] de leur léthargie. [12]
A ce stade, il convient de prendre une nouvelle fois le temps de la réflexion s’agissant de la citation d’Alain Accardo.
Il n’y a pas d’émancipation possible sans la prise de conscience explicite de ce par quoi on est asservi et plus fondamentalement sans la conscience même de l’asservissement, jusque-là étouffée, anesthésiée par les habitudes et le poids des conformismes.
En effet, faute de se fédérer et de se responsabiliser, quels moyens restent-ils aux Citoyens pour ne pas même être entendus ?
1)- Se lancer dans des discussions de comptoirs, par définition stériles et qui restent sans suite ?
2)- Se lancer dans des discussions en famille, tout aussi stériles et tant redoutées par certaines familles ?
3)- Se lancer dans ces mêmes discussions mais sur les lieux de travail ? Casse-cou bien sûr et toujours aussi stérile.
4)- Rédiger des articles dans des revues et/ou sur des sites renommés ? Lecture faite, que se passe-t-il ?
5)- De même les commentaires que tout un chacun peut faire dans le prolongement de tel ou tel article. Quelle est la suite ? Que se passe-t-il ?
6)- Voter à droite, à gauche, au centre ? Chacun l’a compris, c’est une mascarade ;
7)- Participer à un référendum instauré par la classe politique… Là, la suite les Français la connaissent. Qui ne souvient pas du référendum français sur le traité établissant une constitution pour l’Europe, aussi appelé traité de Rome II ou encore traité de Rome de 2004 qui eut lieu le 29 mai 2005. A la question « Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une constitution pour l’Europe ? », le « NON » a recueilli 54,68 % des suffrages exprimés.
Les résultats furent d’autant plus surprenants que les partisans du « OUI » avaient bénéficié de 71 % du temps d’interventions dans les médias télévisés entre le 1er janvier et le 31 mars 2005, et que les opinions exprimées sur les différents réseaux sociaux étaient très majoritairement partisanes du « NON ».
Malgré cela, le représentant en chef de la France, à l’époque, a jugé plus démocratique de méconnaître la décision du « peuple souverain », pour reprendre l’expression habituelle des médias et des politiques.
En effet, le résultat négatif du référendum, joint à celui des Pays-Bas, trois jours plus tard, ayant scellé le sort du traité, la classe politique européenne a rédigé un nouveau traité en remplacement du traité de Rome, en l’occurrence le traité de Lisbonne que notre très cher représentant en chef, de l’époque toujours, s’est autorisé à signer, mais cette fois sans recourir au référendum. Pas folle la guêpe.
Du reste, il convient de relever que depuis 2005, il n’a plus été proposé de référendum aux Citoyens français. Voilà, nous sommes tous punis !
Mais ne nous plaignons pas puisque nous sommes en démocratie, nous rabâche-t-on.
Maintenant, compte tenu de ce que le mécontentement des Français est au fil du temps toujours plus important, il y a aussi l’expérience de nos vénérables « GILETS JAUNES ».
Ont-ils tout gagné ? La réponse est non, loin de là.
A la lecture des publications que chacun peut parcourir sur les réseaux sociaux, il est évident qu’ils n’ont pas abandonné le combat.
Il n’est pas interdit de soutenir que c’est tout à leur honneur compte tenu de ce qu’ils mènent ce combat pour eux bien sûr mais aussi pour la plupart des Français.
En tout état de cause, notre Société repose sur un épais matelas de mensonges, collusions illicites, malfaisances, tricheries et autres crimes, ce qui sera démontré prochainement par ACTES-VRAIS.
ACTES-VRAIS, c’est :
Donner la capacité aux Citoyens de reprendre leur SOUVERAINETÉ, au demeurant ancestrale.
A cet effet, FÉDÉRER les Citoyens en leur permettant de s’appuyer sur le site participatif d’ACTES-VRAIS.
Et puis rêvons, leur rendre le goût et surtout la confiance de retourner massivement aux urnes en leur GARANTISSANT que les propositions qu’ils auront faites seront enfin suivies d’effet !
Comment ? :
- Par l’accès libre et équitable à la possibilité de publier des doléances, des propositions (idées), contribuer à la diffusion d’informations réelles et sérieuses, en participant à des référendums instaurés à la seule demande des Adhérents d’ACTES-VRAIS ;
- Par l’accès libre et équitable à la vérification par tout Adhérent du suivi des publications de chacun, en termes notamment d’analyses, synthèses et statistiques ;
- En contribuant à l’élaboration naturelle d’un projet sociétal national, forcément représentatif des désidératas et de la volonté de la majorité des Français.
- Constituer les forces vives nécessaires, le moment venu, au bon fonctionnement politique, juridique, administratif et économique de la nation.
En toute sérénité, en toute transparence et en toute confidentialité.
Nota. S’agissant des référendums, nous sommes tous dépendants du nombre d’adhérents à ACTES-VRAIS car organiser un référendum pour un trop petit nombre de personnes n’a pas de sens.
D’où la nécessité d’une information virale. Il faudra en avoir tous conscience tous les jours.
Dans tous les cas, ce sont les Adhérents d’ACTES-VRAIS qui décideront de la possibilité de lancer les premiers référendums car
ACTES-VRAIS c’est tout simplement NOUS LES FRANÇAIS.