Les fonctions « régaliennes » désignent des tâches que l’État ne doit pas ou ne peut pas déléguer à des sociétés privées.
Les fonctions régaliennes désignent souvent les fonctions suivantes :
- assurer la sécurité extérieure par la diplomatie et la défense du territoire ;
- assurer la sécurité intérieure et le maintien de l’ordre public avec, notamment, des forces de police ;
- définir le droit et rendre la justice ;
- détenir la souveraineté monétaire en émettant de la monnaie, notamment par le biais d’une banque centrale ;
- détenir la souveraineté budgétaire en votant le budget de l’État, en levant l’impôt et en assurant la gestion des finances publiques.
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Qui peut raisonnablement soutenir que la sécurité intérieure et le maintien de l’ordre public sont assurés ?
Cela fait des années que nous sommes confrontés à ce problème lequel s’aggrave toujours plus au fil des années, quels que soient les crimes et les délits.
Tant il est vrai que nous en sommes arrivés au point où y compris les forces de police, en charge de faire régner l’ordre, sont agressées.
Aujourd’hui, dans les quartiers de nos villes de plus en plus nombreuses, c’est un climat de guérilla et en l’état rien ne nous permet d’envisager pas même d’espérer qu’une solution sera apportée par l’Etat.
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à des scènes de guérilla. Demain, à quoi devrons-nous être confrontés ?
Dès lors que nos enfants se rendent à l’école avec des couteaux, nous pouvons nous attendre au pire.
C’est d’autant moins acceptable que les politiques n’hésitent pas à demander aux forces de l’ordre de charger sur les Français en souffrance qui manifestent, n’hésitent pas à verbaliser les Français qui ne respectent pas tout à fait les consignes inhérentes à la crise sanitaire et en même temps fermer les yeux sur les exactions et crimes des blacks blocs, racailles et autres dealers.
Si pour ne pas être inquiétés par le pouvoir et son bras armé il faut être des délinquants, qu’ils nous le disent.
Visiblement notre nation part à vau-l’eau [1] et tant les médias que nos dirigeants politiques auront à en répondre tôt ou tard.
Dans l’attente, il leur est vivement conseillé de se remettre en question et satisfaire à cette mission qui leur est confiée, rappelons-la (on ne sait jamais) la sécurité intérieure et le maintien de l’ordre public.