#Politique

L’Etat français : pronostic vital engagé (4/8)

Vendredi 26 mars 2021

Un troisième exemple, celui de l’insécurité de plus en plus « frappant » au fil des mois.

Parce que nous sommes formatés dès la naissance, nombreux, très nombreux même sont ceux qui pensent : « comme si on peut se passer de l’Etat ».

Pourtant, bien sûr que le Peuple peut se passer de l’Etat dans sa forme actuelle. Et le doute ne saurait être permis. Rappelons-nous quand même que les décideurs politiques viennent du peuple.

Et puis, est-ce qu’entrer en politique rend plus compétent ? La réponse est évidente : çà se saurait.

Pour les personnes qui en doutent...

3. Les problèmes liés à l’insécurité avec un focus sur ce qui est communément appelé « la racaille ».

Si l’insécurité est un problème majeur depuis plusieurs décennies, elle atteint aujourd’hui des proportions qui sortent tout simplement de l’entendement.

Et comment pourrait-il en être autrement ?

Une classe politique incapable de résoudre le problème du chômage mais qui néanmoins se rend COUPABLE d’organiser et d’entretenir une immigration débridée et sauvage ;

Une classe politique qui ne permet pas l’assimilation des individus qu’elle a fait rentrer sur le sol français ;

Une classe politique qui méconnaît [1] les zones de non-droit et donc qui laisse l’insécurité se développer davantage encore ;

Un bras armé de l’Etat, entendez par là les juges, qui se refusent à sanctionner la criminalité, considérant que seuls les Français en souffrance et parfaitement fondés à manifester, doivent être condamnés, oubliant que ce sont lesdits Français qui leur permettent de toucher leur traitement ;

Un autre bras armé de l’Etat, les forces de l’ordre. Alors qu’elles sont elles-mêmes méprisées tant par la classe politique que par les juges, sévissent sans coup férir contre les Français en souffrance et restent cantonnés lorsque la racaille sévit [2].

Les tirs de mortiers dans les villes dortoirs sans oublier la domination des dealers un peu partout en France montrent bien à quel point l’Etat lâchement, nous laisse à notre triste sort.

Aujourd’hui, que devons-nous constater ?

Les citoyens n’ont pas encore repris les rênes [3] et l’Etat lâchement se défausse [4].

Une telle situation nous conduit à la catastrophe ; les zones de non-droit vont continuer à gagner du terrain un peu partout et les citoyens seront tôt ou tard administrés par les gangs.

Les premiers qui en souffriront sont nos enfants et petits enfants.

Les attestations de sortie liées à la crise du coronavirus ne sont qu’un avant-goût de ce qui nous attend.

Notes

[1ne pas reconnaître (une chose) pour ce qu’elle est, refuser d’en tenir compte

[2exerce des ravages

[3assumer la direction, prendre la direction, prendre le pouvoir, s’emparer du pouvoir, se charger de la direction

[4se décharger d’une responsabilité, d’une corvée

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