On ne saurait targuer ce journaliste du journal Les Échos de complotisme quand même.
Il y a des limites que les mauvaises langues ne peuvent dépasser, ne serait-ce que pour la bienséance.
Mardi 22 septembre 2020, par A/7
On ne saurait targuer ce journaliste du journal Les Échos de complotisme quand même.
Il y a des limites que les mauvaises langues ne peuvent dépasser, ne serait-ce que pour la bienséance.
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